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Sommaire n°11 - Février 2023 :
Le Kilimandjaro: Est-ce pour moi ? Lire l'article
Imperméable n'est pas étanche Lire l'article
Les meilleurs matelas de trekking isolants Lire l'article
Le Kilimandjaro :
Est-ce pour moi ?
Parmi les destinations favorites en automne-hiver, l’ascension du Kilimandjaro arrive en bonne place des randonneurs qui s’équipent chez RayonRando.
Ce haut sommet emblématique (5895 m) est accessible, mais il fait pourtant hésiter pas mal de randonneurs.
Voici les principaux paramètres à considérer avant de se lancer à l’aventure.

Le mal de l’altitude (mal aigu des montagnes) :
Lorsque j’ai fait cette ascension, j’avais lu à l’entrée du parc que seuls 40 % des trekkeurs atteignaient le sommet.
Le sentier n’étant pas technique, c’est essentiellement le mal de l’altitude qui entraine des abandons. Ce mal qui commence par des maux de tête, parfois violents, oblige vite à redescendre au risque de mettre en danger de mort la personne touchée.
La raison de ces abandons me parait due au format même du trek : le Kilimandjaro est un cône isolé ce qui entraine une ascension directe depuis la savane jusqu’au sommet qui est souvent proposée en seulement 5 ou 6 jours (4000 m + par la voie Machame).
Or, sur un laps de temps aussi court, le temps d’acclimatation à l’altitude peut être insuffisant.
Selon mon expérience personnelle, qui n’est pas une norme universelle, il faut environ trois jours de randonnée à une altitude intermédiaire, entre 3000 et 3500 m environ, pour s’adapter à l’altitude et « faire des globules rouges ». On peut monter en altitude dans la journée et bivouaquer un peu plus bas le soir. La sensibilité de chacun à l’altitude est évidemment variable, de même que le temps d’acclimatation.

Lorsque j’y suis allé, nous sommes 11 sur 12 à avoir atteint le sommet. Comment avons-nous fait ? Nous avons réalisé d’abord une première ascension au Mont Kenya (5000 m) durant 6 jours. Après cela, nous étions suffisamment acclimatés à l’altitude pour faire l’ascension du Kilimandjaro sans trop de difficultés.
Lors d’une autre ascension au Pérou, la phase d’acclimatation trop courte et la montée en altitude trop rapide avait généré un mal de l’altitude chez pas mal de gens.
Si vous n’avez pas l’expérience du phénomène, je vous recommande donc d’être vigilant au programme de votre trek : l’idéal est de faire un premier trek en haute altitude ailleurs pour s’acclimater avant de se lancer dans l’ascension finale du Kilimandjaro (le mont Kenya et le mont Meru ne sont pas très loin). A défaut, un circuit un peu plus long sur le Kilimandjaro, qui vous permet de rester à 3000-3500 m une journée de plus est beaucoup plus sécurisé qu’un circuit court (de type Kilimandjaro + Safari qu’on trouve dans certains programmes).

Le froid :
Vous allez dormir sous tente et il fait froid. Il y a certes des cabanes, notamment avant l’ascension finale, mais vous n’êtes pas sûr d’y trouver de la place vu la fréquentation. Attendez-vous donc à affronter des nuits froides et des réveils froids également. Même si dans la journée, il fait bon, il vous faudra des vêtements bien chauds ainsi qu’un duvet « grand froid » (que vous pouvez trouver dans le rayon « sacs de couchage grands froid » chez RayonRando.com).
La dernière nuit, vous vous lèverez vers minuit-1h, pour une ascension finale de nuit, chaudement habillé par conséquent.
Si vous avez du mal à supporter le froid, ce n’est peut-être pas la bonne destination…

Etat de forme et équipement:
Pas besoin d’être un champion pour monter au Kilimandjaro. Les sentiers ne sont pas techniques, mais il faut quand même faire le dénivelé. Il faut simplement être un randonneur régulier et être en bonne forme. Il est important d’arriver reposé au démarrage du trek. Vous en reviendrez fatigué.
Lors de l’ascension finale et jusqu’au lever du jour, j’ai ressenti quelques soucis d’équilibre dus à l’altitude et à l’obscurité. Je vous conseille vivement pour cette dernière étape d’avoir une bonne frontale et des bâtons de randonnée, qui vous apporterons confort et stabilité.

Je ne vous fais pas l’article sur les bonnes chaussures, bonnet, gants, sous-vêtements thermiques, etc… Ce sont des recommandations classiques. Sans oublier l’habituelle couverture de survie.
A noter que des petites chaufferettes chimiques peuvent être utiles au cas où vous auriez du mal à vous réchauffer au sommet.


En conclusion :
Le Kilimandjaro est une belle destination assez accessible. Mais, on ne doit pas la tenter sans une certaine expérience de la randonnée longue.
S’il faut être en bonne condition physique, le point essentiel avant de partir est de vérifier que le programme du trek permet un temps raisonnable d’acclimatation à l’altitude. Les circuits courts sont à éviter. Un premier sommet de préparation est l’idéal.
Il existe plusieurs voies pour rejoindre le sommet. Il peut être intéressant de monter par une voie secondaire, moins fréquentée et plus longue, et de redescendre par la voie principale. Le recours à un guide est obligatoire, vous ne ferez donc pas votre parcours tout seul.
Un programme bien construit, bien encadré, et une bonne condition physique vous permettrons d’atteindre le toit de l’Afrique sans galère.

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Imperméable n’est pas étanche
Chez RayonRando, on nous demande parfois si une veste ou des chaussures sont « bien étanches ». Cela nous oblige à expliquer que les équipements de randonnée, même les plus techniques, ne sont pas étanches mais « seulement » imperméables.
Imperméabilité, étanchéité, déperlance, voici l’occasion de faire le point sur des notions parfois confuses.

Qu’est ce qui est étanche ? Et pourquoi, ça ne convient pas ?
Prenez vos bottes en caoutchouc et votre épais ciré de marin : vous aurez quelque chose de bien étanche. Vous êtes sûr que l’eau ne rentrera pas. L’inconvénient, c’est que c’est étanche des 2 côtés : rien ne rentre, mais rien ne sort non plus.
Hors quand vous êtes actif, vous transpirez. Et si la transpiration ne sort pas, vous serez protégé de la pluie, mais mouillé quand même… De plus, l’humidité corporelle créera un pont thermique et vous aurez plus facilement froid (surtout après l’effort). Sans parler du développement des bactéries et autres, qui vont générer mauvaises odeurs, irritations, etc…
Bref, étanche pour un vêtement ou des chaussures, ce n’est pas confortable quand on bouge beaucoup et qu’on transpire. En rando, par exemple.
Pourquoi les chaussures et textiles de randonnée sont-ils « seulement » imperméables ?
C’est-à-dire qu’ils empêchent l’eau de pénétrer, jusqu’à un certain point... Mais ça peut finir par pénétrer.
La raison est le pendant de ce que j’évoquais sur les textiles étanches :
- La respirabilité : pour être à l’aise, vos vestes et chaussures doivent être aussi imperméables que possible, mais également respirantes, pour permettre à l’humidité corporelle de sortir et de préserver votre confort.
- Le poids et l’épaisseur sont également une raison : une veste de pluie de randonnée, beaucoup plus légère qu’un ciré, est plus agréable à porter sur soi comme dans son sac ; elle laisse une plus grande aisance de mouvement.

Comment ma veste peut-elle être à la fois imperméable et respirante ?
Parce qu’elle est équipée d’une membrane : il faut imaginer un tissu avec des micro-trous, assez petits pour empêcher l’eau de rentrer, mais assez gros pour permettre à la vapeur d’eau de sortir. Goretex est la marque de référence mais la plupart des fabricants ont leur propre marque.

Les membranes sont plus ou moins performantes, à la fois côté imperméabilité et côté respirabilité. Ces performances sont parfois évaluées en laboratoire. Mais ne rêvez pas, si vous passez longtemps sous la pluie avec en permanence une couche d’eau sur votre textile, ça finit par pénétrer. De même si vous transpirez abondamment et que la transpiration condense sur le tissu, vous serez mouillé à l’intérieur.

Pourquoi les vestes de pluie de randonnée sont-elles plus imperméables que les toiles de tentes ?
Mais oui, la toile extérieure de la tente n’a pas besoin d’être très respirante me direz-vous, ça ventile entre les 2 toiles. On pourrait donc s’attendre à ce que les tissus soient plus imperméables que ceux d’une veste. Par exemple, l’imperméabilité, souvent mesurée en mm (je n’entre pas dans le détail), est souvent de 10 000 mm ou plus pour une veste. Pour une toile extérieure de tente, elle est souvent de 3000, voire 1200 mm pour les tentes ultra-légères.
Il y a 2 raisons :
- La déperlance : sur une veste, l’eau peut stagner dans les plis ou sous la pression du sac à dos ; sur une tente on cherche d’abord à ce que l’eau glisse, c’est la déperlance. Si l’eau glisse, elle n’a pas le temps de pénétrer. Pour qu’elle glisse, on tend la toile avec une forte inclinaison, la pesanteur fait le reste. Mais, s’y ajoute souvent un traitement de surface déperlant : les gouttes se condensent et glissent plus facilement. C’est particulièrement vrai pour les tentes ultra-légères, où l’imperméabilité est plus faible.
- Le poids et le volume, là aussi : si on utilisait une toile cirée, ce serait beaucoup plus lourd et encombrant.
Les tapis de sol sont plus imperméables que les toiles puisqu’il ne bénéficient pas de la déperlance.

Peut-on restaurer l’imperméabilité d’un tissu ?
Pas vraiment (sauf les réparations d’accrocs par l’ajout d’une pièce).
Nous vendons des « imperméabilisants » par pulvérisation ou par trempage. Mais, ils servent à restaurer la déperlance en surface. La déperlance peut en effet se réduire avec le temps, les frottements et les lavages. Ces produits sont conçus pour ne pas boucher les pores de la membrane imperméable.
Mais si c’est la membrane qui est détériorée, l’imperméabilisant ne la réparera pas. Evitez notamment les lavages trop fréquents et les essorages musclés.
Vous trouverez aussi chez RayonRando du silicone liquide : vous l’utilisez pour réimperméabiliser les coutures. Il s’applique au pinceau et vient imprégner les coutures et boucher les micro-trous.

En conclusion :
Pour être actif, avec de la transpiration par conséquent, vous pouvez oublier l’étanchéité et rechercher imperméabilité et respirabilité pour votre équipement corporel. Vous trouverez ces textiles avec membranes imperméables et respirantes sur les vestes et pantalons de pluie, les chaussures, mais chez RayonRando, nous proposons aussi quelques chaussettes et gants imperméables (très utiles en vélo par exemple).
Pour certains textiles imperméables, la robustesse prime sur la respirabilité : guêtres (soumises à frottements) et capes de pluie (qui ne doivent pas déchirer en cas d’accroc).
Sur le matériel, tentes, tarps, housse de pluie, on cherche l’imperméabilité mais aussi la légèreté, c’est pourquoi les tissus extérieurs sont aussi étudiés pour être déperlants autant qu’imperméables. Notez qu’un indice d’imperméabilité élevé va souvent de paire avec un tissu robuste, plus épais et plus lourd.
On peut restaurer la déperlance (avec un imperméabilisant) mais pas l’imperméabilité (sauf à boucher les trous avec une pièce collée ou du silicone pour les coutures).

Enfin, vous trouverez bien chez RayonRando des matériels dits « étanches » : sacs à enroulages, étuis et autres accessoires pour protéger vos affaires. C’est toujours dans certaines limites. De même, certains équipements électriques, optiques et électroniques sont protégés contre l’eau. Il portent parfois un indice de protection (IP57 ou IPX7 pour les plus protecteurs).
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Les meilleurs matelas de trekking isolants
Dans notre précédent Randozine, on vous a parlé des meilleurs sacs de couchage adaptés au grand froid. Alors c’est au tour des matelas isolants, l’équipement complémentaire indispensable pour passer de bonnes nuits à des températures très basses.
N’oubliez pas que les bienfaits d’une nuit réparatrice sont nombreux : énergie, bonne humeur, plus de vigilance et de lucidité pour le lendemain.

Un matelas, cela isole de quoi ?
Il est nécessaire de comprendre que le matelas de rando, même isolant, ne réchauffe pas. Il créé une barrière thermique entre le corps (chaud) et le sol (froid).
L’objectif est double :
- Limiter la déperdition de chaleur du corps
- Limiter la propagation du froid au contact du sol
Et pour réaliser cette isolation thermique, plusieurs techniques sont employées par les constructeurs : structure compartimentée, garnissage type Primaloft, films réfléchissants aluminisés.

Heureusement pour simplifier la comparaison des différentes isolations thermiques des matelas de randonnée, les constructeurs utilisent un paramètre commun : La R-Value.
N’hésitez pas à relire notre article à ce sujet
Quel est l’impact de la taille du matelas isolant ?
Dans la majorité des cas, un matelas isolant taille standard "regular "(50 à 55cm de largeur) suffit à la protection thermique et au confort de la personne. Mais il est possible de choisir une version dite large "wide" (60 à 65cm) pour reposer vos bras et améliorer la protection contre le froid.
Mais vigilance, une tente 2 places standard n’est souvent pas assez large pour y mettre 2 matelas larges. Eventuellement, vous pouvez y installer un large et un regular.
Gonflable ou autogonflant, quel matelas isole le mieux ?
Attention aux a priori sur les matelas isolants autogonflants : La simple présence de mousse n’en fait pas un isolant supérieur aux technologies employées dans les matelas isolants gonflables.
Dans les faits, les matelas autogonflants fins (autour de 2cm) seront sans nul doute peu isolants. Quant aux matelas isolants gonflables, leur construction est plus technique. Ce qui leur permet d’obtenir les meilleurs indices d’isolation thermique (R-Value).

Et les matelas mousse à rouler ?
Les matelas mousse de trekking à plier ou à rouler sont certes économiques, mais ils sont loin d’être efficaces contre le froid, comme peuvent l’être les matelas isolants gonflables.

Alors voici la sélection Rayonrando des meilleurs matelas de trekking isolants pour les matelas gonflables et auto-gonflants :
Le matelas gonflable ultra-léger et compact :
Neoair Xlite regular (Thermarest)
465 g ! Un poids plume pour ce Neoair Xlite regular de Thermarest. Et même à ce poids, l’isolation thermique est très efficace, en intégrant un film réfléchissant (R-Value : 4,2). Une épaisseur de 6,3 cm le rendant tout à fait confortable. Le tout dans un volume équivalent à une bouteille de 1L !

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Pour les frileuses, un ultra-léger à l’isolation renforcée :
Neoair Xlite womens (Thermarest)
Si vous faites partie des personnes sous les 1,70 m, vous avez de la chance. Thermarest a développé cette version femme Neoair Xlite womens qui atteint une isolation thermique supérieure au Neoair Xlite regular grâce à sa construction avec membranes réfléchissantes (R-Value 5,4). Sa longueur de 1,68 m lui permet de réduire encore le poids à 440 g.
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Le matelas isolant super épais mais compact :
Tensor Insulated regular mummy (Nemo)
Avec un volume de 20 x 9 cm, le Tensor insulated regular mummy compte parmi les matelas gonflables les plus compacts de sa gamme. On lui associe un poids très faible de 485 g. Et pourtant, il conserve une épaisseur très conséquente de 8 cm, soit quasiment 2 cm de plus que les Neoair xlite précédents. Ce matelas isolant possède un garnissage en Primaloft et 2 films aluminisés lui permettant d’obtenir une R-Value de 4,2.

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Le matelas gonflable rectangulaire pour plus d’espace :
Tensor Insulated regular wide (Nemo)
Si vous avez tendance à manquer de place sur un matelas forme momie, alors essayez le Tensor Insulated regular wide : 64cm sur toute la longueur du matelas. On reste dans la gamme des très bonnes isolations thermiques avec une double couche de film aluminisé (R-Value : 4,2).

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Epaisseur record et maxi isolation pour 4 saisons :
Ether Light XT Extreme regular (Sea to summit)
Avec une épaisseur record de 10 cm, le Ether Light XT Extreme regular absorbera tous les mouvements des personnes dormant sur le dos ou sur le côté.
Ce matelas trekking est construit avec des cellules entièrement indépendantes lui permettant d’aller chercher une isolation thermique très importante (R-Value : 6,2).

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Le matelas gonflable hiver le plus isolant :
Neoair Xtherm NXT regular (Thermarest)
Une isolation thermique exceptionnelle pour ce Neoair Xtherm NXT regular de Thermarest (R-Value 7.3) avec un poids aussi faible (565 g). Même sur la neige, ce matelas isolant vous coupera totalement du froid. Et ne vous inquiétez pas pour sa solidité, le tissu en 70D lui procure une très forte résistance à l’abrasion.

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Le matelas gonflable isolant abordable et léger :
Micro Air (Trangoworld)
Son isolation en Primaloft lui permet d’atteindre une R-Value de 3,2 tout en restant dans la catégorie poids plume (490 g). Ce matelas trekking Micro Air de Trangoworld permet aux budgets modérés d’accéder à une bonne isolation thermique 3 saisons sans en ressentir le poids dans son sac à dos.

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L’autogonflant isolant sous les 700 grammes :
Prolite Apex regular (Thermarest)
Si vous souhaitez emporter en randonnée un matelas autogonflant en restant suffisamment léger, le Prolite Apex regular de Thermarest sera fait pour vous avec ses 680 g. Poids mini allant de pair avec son encombrement réduit.
Tout en conservant une bonne isolation thermique (R-Value : 4).
Avec son épaisseur de 5 cm, ce matelas autogonflant reste une alternative aux gonflables.

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L’autogonflant confortable et moelleux :
Fjellguard 60 (Robens)
Avec une épaisseur de 6 cm, c’est le confort sans effort avec cet autogonflant Fjellguard 60.
Il vous garantit également une bonne isolation thermique(R-Value : 3,9).
Sa valve avec clapet anti-retour est aussi un atout à considérer.

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L’autogonflant isolant et particulièrement économique :
Camp SI Mat regular (Sea to summit)
Le Camp SI Mat regular offre le tarif le plus accessible pour dormir sur un matelas autogonflant bien isolé. Ce matelas décroche une R-Value de 4,2 permise par une mousse percée horizontalement plutôt que verticalement, ce qui évite les ponts thermiques. Il faudra en revanche renoncer à quelques centimètres de confort pour arriver à une épaisseur de 3,8cm, qui reste néanmoins tout à fait correct si vous appréciez un couchage ferme.

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Conclusion :
Et si vous avez encore froid ?
Commencez par faire le point sur votre sac de couchage (voir notre article sur les sacs de couchage adaptés grand froid).
Ensuite, vous pouvez utiliser une couverture de survie sous votre matelas. En mettant la face argentée vers le matelas, la couverture renverra votre chaleur.
Enfin, pensez à lire notre article « Comment avoir chaud dans son sac de couchage ? ». Vous y trouverez probablement des solutions pour améliorer vos nuits et continuer vos randonnées en pleine forme !
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