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Comment trouver un lieu de bivouac en trek ? Lire l'article
Comment bien entretenir sa veste imperméable ? Lire l'article
Les 10 meilleurs bâtons de randonnée Lire l'article
Heureusement, il existe des étapes à suivre pour trouver le lieu de bivouac le plus adapté lors de votre trek.
Vous avez peut-être connu des expériences de bivouac « désagréables » :
Ce qui est plus frustrant, c’est de découvrir au petit matin le lieu de bivouac parfait 500 m plus loin…
Oui, nous aussi chez RayonRando, on sait ce que c’est… C’est pourquoi, nous vous proposons quelques bonnes pratiques pour trouver votre lieu de bivouac en trek et éviter les galères.
Vous campez si vous restez plusieurs jours au même endroit. Alors que vous bivouaquez si vous montez la tente uniquement pour la nuit et vous la déplantez au réveil.
Le camping est le plus souvent interdit, hors zone spécialement aménagée, alors que le bivouac peut être toléré, mais il est parfois soumis à des réserves selon les endroits et selon les moments, par exemple :
Il est bien sûr interdit de bivouaquer sur des propriétés privées. Mais il suffit parfois de demander au propriétaire.
Renseignez-vous donc sur la réglementation là où vous vous rendez avant de chercher votre lieu de bivouac.
A la maison, avant le départ et finalement le jour J, Rayonrando vous explique tous les points de vigilance à connaitre pour que cette expérience de bivouac en pleine nature reste un très bon souvenir !
Si vous n’êtes pas à l’aise avec la lecture de carte, voici notre article pour savoir lire une carte IGN.
La pente rend souvent impossible de planter une tente. Et quand c’est possible, rien de plus désagréable que de glisser toute la nuit sur son matelas. L’objectif principal c’est de donc de trouver une zone plate. Pour repérer un tel endroit, il vous faut lire les lignes de niveaux sur la carte
L’expérience vous aidera à apprécier plus finement chacune des pentes sur la carte.
Arrivé à une certaine altitude le relief peut devenir beaucoup moins accueillant pour les tentes. Les lignes de niveaux se resserrent à tout va. Dans ce cas, observez bien les alentours des lacs, il n’est pas rare d’y découvrir une petite plage faisant l’affaire.
La zone peut être plate mais sans laisser l’espace pour poser une tente : arbres, pierriers, marécages, végétation basse, gare aux mauvaises surprises !
Là aussi, la carte vous permet d’identifier certains lieux inadaptés au bivouac :
Il est plus difficile d’anticiper la présence d’arbustes bas ou de pierriers. Mais si la zone plate se trouve dans une zone sans végétation, au pied d’une forte pente, le risque de pierriers est plus fort.
Une zone de pâturage, une berge de lac ou une vaste clairière peuvent faire de bons bivouacs.
Bivouaquer sans eau à proximité, c’est dur ! Repérez les différents points d’eau sur votre carte (lac, ruisseau, source, fontaine). Attention aux cours d’eau indiqués en pointillées ou aux petits plans d’eau : ils peuvent être à sec au cœur de l’été.
L’idéal est d’installer sa tente sur du plat à proximité d’un point d’eau. Mais ce n’est pas toujours possible le jour J. Dans ce cas, identifiez s’il y a un point d’eau ½ heure avant votre bivouac : pensez à y faire un brin de toilette et le plein d’eau pour la cuisine et la boisson. Une astuce : prévoyez une poche à eau supplémentaire pour faire le plein en cas de besoin.
→ Le site http://www.refuges.info peut vous aider à vérifier la présence d’eau à certains endroits, via les témoignages des autres randonneurs.
Et pour finir avec l’étude de la carte, il est idéal de repérer des zones de bivouac bien exposées au soleil du matin, donc dégagées à l’Est. Cela vous permettra d’être au soleil durant le petit déjeuner et de faire sécher plus rapidement votre tente (suite à des averses ou simplement la rosée du matin).
Pour chacune des zones de bivouac repérées, vous pouvez également vérifier la vue satellite sur internet. Cela peut vous aider à mieux comprendre l’implantation de la végétation et parfois même le relief, sur certains sites proposant cette option.
Gardez en tête qu’il estprimordial de débuter les recherches bien avant le coucher du soleil. Cela peut demander du temps de trouver le bon endroit, s’installer, manger… Alors autant éviter de faire ça de nuit avec le stress et l’insécurité que cela implique. Il suffit de convenir d’une heure à ne pas dépasser, comme 18h en plein été. Ainsi vous aurez de la marge par rapport à la tombée de la nuit.
L’état général du groupe est également à prendre en compte pour débuter vos recherches. Si la fatigue se fait trop ressentir, il est préférable de renoncer à l’objectif estimé dans 2h, et ainsi se rabattre sur un lieu de bivouac à proximité. N’attendez pas la situation de crise, anticipez !
Pensez aussi à l’eau. Vous ne pouvez pas vous en passer pour le bivouac mais aussi pour le début de rando le lendemain. S’il y a un risque d’être de faire un bivouac « à sec », arrêtez-vous plus tôt, là où vous avez de l’eau.
Enfin, sur le chemin, n’hésitez pas à demander les bonnes adresses de bivouac aux randonneurs que vous croisez.
Le nombre de tentes à installer peut aussi impacter le temps de recherche car il faut une zone plate plus grande, surtout arrivé à une altitude où les gros rochers remplacent arbres et prairies.
Prenez en compte l’exposition de l’emplacement au risques météo :
Les conditions peuvent être agréables en fin de journée, mais changer nettement durant la nuit. Le lieu de pose de la tente doit prendre en compte les différents risques.
Fortes précipitations
Risque de froid
Forts vents
Risque d’orage
Et le soleil ?
Comme expliqué en 1ère partie, prêtez attention à l’exposition au soleil du matin. Le soleil se levant secteur Est, vous pourrez, à l’aide d’une boussole ou d’une application comme SunPosition-Map, déterminer où apparaitront les premiers rayons de soleil.
Pour trouver un bon bivouac, les maitres mots sont : anticipez et ayez de la marge. Vous réduirez les risques de galère et augmenter les chances de trouver un beau bivouac.
Ce sont ensuite l’observation de la carte, du terrain et de la météo qui seront déterminants.
Enfin, tâchez d’éviter au maximum d’écraser la flore (parfois rare) en posant votre tente. Pour le respect de la nature et des autres randonneurs, il est important de ne laisser aucune trace de votre passage, ni feu, ni déchets, ni crotte et pq…
Un beau site de bivouac doit le rester pour les suivants.
Et si vous souhaitez acheter une tente pour votre 1er bivouac ou investir dans une nouvelle pour les prochains treks, n’hésitez pas à consulter notre article « Comment choisir votre tente » ou à contacter l’équipe de RayonRando par mail ou téléphone. Nous vous renseignerons avec plaisir !
Après les chaussures de randonnée, la veste imperméable est probablement l’équipement le plus important en randonnée. C’est une vraie barrière contre les éléments qui permet de poursuivre votre randonnée sereinement. Les technologies utilisées dans ce type de textiles les rendent très performantes. On est bien loin du célèbre K-way étouffant ! Mais comme tout matériel, pour conserver ses performances, il est nécessaire de l’entretenir. Même si cela peut faire peur de laver une veste parfois très coûteuse.
RayonRando répond ici aux principales questions répond pour garder votre veste imperméable au top de sa forme :
Vous avez acheté une veste haut de gamme vous garantissant une imperméabilité et respirabilité « exceptionnelle ». Cela fait maintenant 2 ans que vous l’utilisez et vous commencez à regretter votre achat ? (si vous souhaitez comprendre la différence entre étanche et imperméable, consultez notre article)
Sachez que toute veste finit par perdre en performances. La raison principale est simple : votre transpiration. Si vous ne lavez pas suffisamment votre veste, celle-ci s’encrassera progressivement au fur et à mesure de vos randonnées ce qui affectera sa respirabilité. La surface du tissu extérieur sera également sujet à diverses agressions causées par les éléments. Ce tissu perdra donc en déperlance, l’eau ne glissera plus sur vous.
Votre veste doit faire face à 2 éléments : la transpiration d’un côté, la pluie de l’autre.
Pour évacuer la transpiration, elle peut compter sur sa membrane micro perforée (GoreTex ou autre marque). Bien que la transpiration s’évacue en grande partie par cette membrane, un usage fréquent et prolongé peut accumuler la transpiration sur cette membrane et ainsi boucher une partie des micro pores. Vous obtenez alors une veste beaucoup moins respirante.
Pour faire face à la pluie, votre veste peut également compter sur cette membrane, mais aussi sur un traitement du tissu extérieur dit déperlant. Vous retrouverez parfois l’inscription DWR sur des étiquettes pour « Durable Water Repellent ». C’est sur cette 1ère barrière face à la pluie que vous pourrez agir. Le traitement déperlant rend la surface de votre veste « insensible » à l’eau. Vous pouvez d’ailleurs facilement voir les gouttes glisser sur le tissu.
Au fil du temps, votre veste encaissera frictions, frottements, soleil, pluie, vent… Cela finira par dégrader ses capacités déperlantes. L’eau aura alors une barrière de moins à franchir pour accéder à votre peau.
Sachez aussi que pour une veste type « 2,5 couches » (voir notre guide pour choisir sa veste), la fine pellicule que forme la demi couche à l’intérieur peut être détériorée par l’accumulation de transpiration si vous ne réalisez aucun entretien. La membrane technique se retrouvera alors à découvert et risque d’être détériorée.
Après avoir utilisé votre veste à tout va pendant une année bien chargée en randos, vous vous décidez à franchir le pas : laver votre veste.
Cela se passe en 2 étapes : laver puis réactiver la déperlance.
Avant de vous lancer dans ces opérations, assurez-vous d’avoir les produits nécessaires. Il n’est pas question d’utiliser la lessive du quotidien. En effet, celle-ci pourrait détériorer la membrane de votre veste.
Chez Rayonrando, pour le lavage, nous vous recommandons la Lessive textiles NST wash de la marque NST ou la Lessive Tech wash de le marque Nikwax.
Quand à la déperlance, nous vous recommandons l’imperméabilisant TX Direct wash-in de Nikwax ou l’équivalent en spray avec le NST proof spray.
Moyennant un peu d’huile de coude, il est préférable d’opter pour un lavage à la main. Cela permettra d’éviter des frottements un peu trop violents et à répétition. Le textile de votre veste vous remerciera.
Le lavage à la main :
Si le temps ou la patience vous manque, voici les étapes à suivre pour un lavage en machine :
Votre veste est propre ! Reste à réactiver la déperlance, soit en machine ou dans une bassine :
Ou
Cela aura pour effet de redresser des poils microscopiques à la surface du textile, permettant aux gouttes d’eau de rouler plus facilement sur votre veste.
Ca y est, votre veste est propre et à nouveau déperlante, prête pour de nouvelles sorties à pied ou à vélo !
Gardez en tête que ces 2 opérations ne doivent pas se faire toutes les semaines. Selon l’intensité et la fréquence de vos sorties avec votre veste, vous pouvez faire un lavage tous les 6 mois ou 1 an.
Différenciez également un usage quotidien d’un usage « ponctuel » uniquement pour les randonnées. Dans le 1er cas votre veste s’encrassera beaucoup plus vite.
Enfin, à chaque retour de randonnée, n’hésitez pas à passer votre veste (l’intérieur) sous une eau légèrement chaude (40° maximum), sous la douche par exemple. Cela permettra d’éviter les lavages trop fréquents.
Tant que vous prenez soin d’elle, votre veste à de longs jours à vivre !
Et si vous souhaitez aussi laver votre sac de couchage, suivez notre article.
Pas facile de s’y retrouver dans la forêt des bâtons de randonnée. RayonRando vous propose ici une sélection resserrée qui vous permettra de bien identifier l’intérêt de chaque bâton et de choisir en fonction de votre usage et de vos priorités.
Non seulement ils sont fiables, mais ces bâtons de randonnée sont si légers qu’on a l’impression de tenir des baguettes dans les mains. Pour marcher, c’est très agréable. Et lorsqu’on a besoin de les accrocher au sac, cela évite de s’alourdir.
158 g par bâton. Ces bâtons italiens sont parmi les plus légers en aluminium. Le système de serrage est fiable sans forcer et la poignée mousse agréable. Une valeur sûre depuis des années.
160 g par bâton. L’utilisation du carbone plutôt que l’alu permet également d’alléger les bâtons comme pour ces bâtons français. Ce modèle a également l’avantage de fermetures à loquet, habituellement peu présentes sur les bâtons ultra-légers, et d’embouts TSL en pâtes d’araignée, très confortables pour les passages sur route ou sentiers côtiers.
Ces bâtons sont si compacts que vous pouvez les ranger facilement sur, mais aussi à l’intérieur de votre sac à dos, contrairement aux autres bâtons, généralement trop encombrants. C’est également bien pratique pour les stocker chez soi ou dans le coffre de la voiture une fois la rando terminée. Nous vous proposons notamment 2 modèles de bâtons pliables qui pourraient également figurer dans la catégorie « vraiment pratiques », car très simples à manipuler.
Comment rendre plus compact un bâton 3 brins ? En faire un bâton 4 brins, comme dans cette version 4 brins du bâtons Fizan Compact. Ils restent très légers (177 g) mais sont aussi bien compacts (51 cm pliés). Une astuce : vous pouvez visser les 4 brins d’un coup en saisissant le bâton par le brin du haut et le brin du bas.
Ces bâtons offrent plusieurs avantages. Ils sont pliables, mais le brin du haut peut s’ajuster en longueur, comme un bâton télescopique, ce qui permet de s’adapter à votre taille mais aussi à la pente. Ils ont un manchon long qui peut être intéressant pour marcher en dévers et dans les pentes enneigées. Enfin, ils sont économiques (attention, vendus à l’unité). Par contre, ils sont plus lourds que d’autres modèles (295 g). On ne peut pas tout avoir…
Bâtons pliables Tour Alu 5 Light et Tour Carbon 5 Light de TSL
On retrouve des bâtons pliables avec l’ajustement de la longueur du brin du haut. Mais ces bâtons français sont plus qualitatifs et plus robustes que le modèle précédent, pour un budget plus élevé également. La version carbone est très légère (200 g) mais c’est la plus onéreuse. La version aluminium est plus accessible pour un poids correct (260 g) et le même niveau de qualité.
Pour un usage 4 saisons, il peut être intéressant de prendre des bâtons permettant un usage facile en hiver (froid, neige, gant).
Biens pour l’été, ils disposent d’une accessoirisation intéressante pour l’hiver : une fermeture des brins par loquet, qu’on peut donc manipuler sans enlever les gants ; une poignée liège agréable par tout temps, prolongée d’un manchon long pour pouvoir marcher dans les dévers et pentes enneigées ; et des rondelles été et hiver. Il s’agit de bâtons économiques (vendus à l’unité), là aussi un peu plus lourds que d’autres modèles.
On monte un peu en gamme mais pas pour rien. Ces bâtons pliables sont faciles à manipuler. Lâchez les brins : ils s’emboitent et se fixent automatiquement. Le brin du haut permet d’ajuster la longueur par un loquet manipulable sans ôter ses gants. Enfin, le manchon est très long, ce qui permet de le manipuler dans les pentes et dévers sans modifier le réglage.
Ces bâtons robustes d’apparence classique ont un petit secret : un système anti-choc logé à l’intérieur du bâton. Cet anti-choc peut se bloquer ou se libérer selon le besoin. Pratique lorsqu’on marche sur des sols durs ou encore lorsqu’on a des douleurs articulaires dans les bras.
Bâtons CARBON FXP.4 APPROACH - VARIO COMPACT de Komperdell
Derrière ce nom à rallonge, un bâton haut de gamme qui est un vrai plaisir à manipuler. Il s’agit d’un bâton pliable qui se déploie automatiquement et qui se replie tout aussi vite. Il suffit de lâcher les brins et le bâton se met en place et se verrouille automatiquement. Un bouton dissimulé dans le brin permet de déverrouiller les brins tout aussi vite. Enfin, le brin du haut s’ajuste en longueur pour s’adapter à la personne et à la pente. L’ensemble est robuste et léger.
Cette petite sélection permet de vous orienter facilement en fonction de quelques critères centraux : légèreté, encombrement, praticité, usage été/hiver, budget… Elle vous permet de trouver facilement une solution adaptée à vos besoins.
Pour un usage débutant ou une pratique occasionnelle, les bâtons Elementerre sont de bons compromis à tarifs abordable. En montant plus ou moins en gamme, on trouve une technicité et une praticité bien adaptés à un usage régulier.
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