Sommaire n°21 - Décembre 2023 :

Madère : L'île de la randonnée en toutes saisons  Lire l'article

Comment se laver en trek ?  Lire l'article

Les 5 meilleures lampes frontales Petzl  Lire l'article

 

 Madère :

L’île de la randonnée en toutes saisons

  

Existe-t-il une belle île aux terres et côtes sauvages pour y randonner à tout moment dans l'année ? Si possible abordable et qui ne demande pas de poser trop de congés ? Et bien oui, Madère fait partie de ces petits paradis pour randonneurs, facilement accessibles depuis la France avec un climat agréable tout au long de l'année.

Préparez votre sac à dos, Rayonrando vous donne quelques bonnes informations pour découvrir l'île aux fleurs : Madère.

  

Les bonnes raisons pour randonner à Madère

 

  • C’est vraiment magnifique ! Sur un territoire relativement réduit (environ 56 km x 20 km), l’île offre une grande variété de paysages, souvent impressionnants.  Sommets escarpés, sentiers vertigineux dans la montagne ou en surplomb de la mer, falaises et parois verticales, roches volcaniques aux couleurs multiples, tantôt sombres, tantôt rouges, ocres, jaunes, forêt primaire et fleurs à profusions au printemps et en été…
  • L’île est bien aménagée pour randonner. La plupart des sentiers suivent des lévadas, canaux d’irrigations creusés dans la montagne, parfois à flanc de parois. Les sentiers principaux sont biens entretenus, souvent sécurisés par un garde-corps dans les passages vertigineux (qui ne manquent pas), souvent pavés, réguliers, avec des escaliers dans certaines montées.
  • Le climat permet d’y randonner quasiment toute l’année.
  • Les gens sont accueillants. Beaucoup de restaurateurs et hôteliers parlent français.
  • C’est une destination plutôt économique, aussi bien au niveau des vols que de la vie sur place.
  • Et en plus, on y mange bien : poissons, dont le délicieux poisson épée, et vins portugais…

 
Notre galerie photo devrait vous convaincre…

   

Quelques infos pour randonner : 

 

Il existe une bonne carte : Kompass au 1/50000, qui indique les sentiers de randonnée aménagés.

Quand y aller ?

Le climat particulièrement clément permet de randonner pratiquement toute l’année. Le printemps et l’été, l’île doit être couverte de fleurs… mais aussi de touristes ! Toutefois, vu le parc hôtelier, la densité touristique doit se concentrer autour de Funchal. En octobre, il y avait peu de fleurs, mais nous étions très tranquilles… Et le climat restait bon (25 °C la journée, 21° C le soir en bord de mer ; 10-11 °C à 1800 m). Le temps était variable entre soleil et nuages ;  mais, quand on est sur les sommets, surplomber les nuages qui s’accrochent parfois à la montagne ne manque pas de charme !

   

  
Pour se déplacer :

  • Si vous randonnez à la journée, le plus simple et économique est de louer une voiture. Ne louez pas à l’aéroport mais plutôt à Funchal (location d’une petite voiture trouvée à 30 € par jour à Funchal, jusqu’à 70 € à l’aéroport).
  • Il existe un réseau de bus mais pas très fréquents en dehors de Funchal et qui ne desservent pas forcément les départs de rando.
  • Il existe énormément de taxis. Cela peut donc être une bonne alternative pour des déplacements ponctuels ou pour vous rendre au départ d’un sentier si vous partez randonner pour plusieurs jours.

 

 

Pour se loger :

  • La plupart des hôtels sont situés près de Funchal. Mais, vous pouvez en trouver aussi quelques-uns dans les villages côtiers en faisant le tour de l’île. En dehors de Funchal, il n’y a souvent qu’un seul hôtel dans la localité. En octobre, nous avons ainsi trouvé à nous loger, sans jamais réserver, pour 35 à 45 € la nuit pour 2 (chambre double et petit déjeuner inclus) dans des hôtels 3 étoiles.
  • Pour le bivouac, l’office de tourisme et les guides touristiques indiquent qu’il faut demander une autorisation préalable auprès du service des forêts à Funchal. Mais, renseignement pris auprès de ce service, on nous a dit qu’il n’y a pas besoin d’autorisation (peut être en faut-il une en été ?) : le bivouac est autorisé sur les hauteurs (du côté des principaux sommets et sur le plateau Paul da Serra) ; il faut juste se signaler à un éventuel garde le cas échéant.  Le plus dur en fait est de trouver un terrain plat suffisamment grand pour planter sa tente…
  • Nous n’avons pas vu de chambre d’hôtes.

 

    

 

Quel type de rando ?

  • L’île est idéale pour des randonnées à la journée. Mais, il est possible aussi de faire un circuit de quelques jours, qui permet de traverser l’île en passant par les sommets.
  • Niveau de difficulté : le long des lévadas, les sentiers sont en pente douce, donc faciles. Il ne faut pas avoir le vertige dans certains passages (mais avec des garde-corps sécurisants). En dehors des lévadas, ça monte parfois très raide. Mais jamais très longtemps (l’île culmine à 1861 m). Il faut parfois utiliser sa frontale quand les lévadas passent à travers la montagne par des tunnels.

2 randos incontournables :

  • Le sentier vertigineux qui relie les 2 principaux sommets, le Pico Ruivo et le Pico Areiro. Sentiers au bord du vide et spectacle géologique surprenant : veines rocheuses et « remparts » en ruine…
  • La pointe de Sao Lourenço à l’extrême Est de l’île. Une langue de falaises au milieu de l’océan. Un festival de couleurs : bleu de la mer et blanc de l’écume mêlés aux rouges, jaunes, noirs et ocres de la roche.

 

 

Et la mer ?

Il n’y pas de plage de sable à Madère. Vous en trouverez à Porto Santo, l’île voisine, à 2h30 de bateau. Cela peut être une destination farniente en fin de séjour. Par contre, il y a sur Madère des piscines d’eau de mer vraiment sympas sur la côte nord. Certaines sont payantes, d’autres en libre accès.

 

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 Comment se laver en trek ?

 

Impossible de prendre un bain, ni même une douche tiède, pourtant à la fin d’une journée de trek, vous auriez bien besoin de vous laver… Mince filet d’eau ou torrent glacé, les options sont en général assez limitées. Et puis le soir arrive, le soleil se cache et un courant d’air frais vous rappelle que vous êtes en altitude.

Rassurez-vous : RayonRando vous aide à surmonter vos légères appréhensions et à rester propre en dédramatisant ce sujet « sensible » en quelques points :

  • Pourquoi se laver en trek ?
  • Où se laver en bivouac ?
  • Quelles zones du corps prioriser ?
  • Quels produits et accessoires pour se laver ?

 

 

Pourquoi se laver en trek ?

 

Pour rester propre c’est évident, me direz-vous. Mais ça ne s’arrête pas là. Comment vous sentez-vous après vous être lavés ? Bien mieux qu’avant c’est certain ! Se laver délasse, détend (même avec l’eau des glaciers) et redonne de la fraîcheur. Les bienfaits sur le corps et l’esprit sont immédiats, pourquoi s’en priver ?

Mais, les bénéfices concrets vont plus loin :

  • Se laver permet d’éviter le développement de bactéries et mycoses pouvant générer irritations et mauvaises odeurs. Des désagréments davantage susceptibles d’apparaitre lors d’une activité physique importante avec la forte transpiration liée à ces efforts.

 

  • Se laver permet de favoriser une meilleure respiration de la peau. La sueur séchée laisse sur la peau des minéraux, acide lactique et autres composés organiques qu’il convient d’éliminer. En vous couchant avec une peau propre, vous améliorez les échanges thermiques entre le corps et l’extérieur. Vous avez alors moins froid la nuit et bénéficiez d’une meilleure récupération.

 

  • Se laver en trek permet de préserver votre sac de couchage de l’encrassement par la sueur. C’est d’autant plus important si vous utilisez un sac de couchage avec un garnissage duvet. Les plumes auront davantage tendance à se coller et à diminuer le pouvant isolant de votre sac de couchage. Pensez aussi, en complément d’une bonne hygiène, à associer un drap de sac avec votre matériel de couchage.

 

 

 
Où se laver en bivouac ?

 

Que ce soit pour boire ou se laver, la quête de l’eau est primordiale en randonnée. Essayez donc autant que possible d’anticiper. Identifiez vos lieux de bivouac en amont de la randonnée. Il faut alors distinguer 3 situations différentes :
 

Mon lieu de bivouac est à proximité d’un refuge ou d’un gîte

Contactez le responsable, il devrait être possible de vous arranger sous certaines conditions pour prendre une douche avant de rejoindre votre lieu de bivouac.

  

Mon lieu de bivouac n’a ni eau ni refuge à proximité

Repérez les derniers points d’eau avant le lieu de bivouac pour faire votre toilette même s’il vous reste 40 minutes de marche ensuite. Attention à bien lire la carte IGN, selon la saison, des cours d’eau peuvent être asséchés.
Et si vous souhaitez tout de même avoir un plan de secours, lingettes ou gants imprégnés peuvent dépanner (cf plus bas).

 

Mon lieu de bivouac semble parfait : un point d’eau est à proximité

Une fois arrivé sur la zone du bivouac idéal, il est tentant de s’allonger dans l’herbe pour relâcher tous les efforts et contempler la nature autour de soi.
Un conseil : Ne traînez pas à vous laver ! Votre corps est encore chaud. Il sera plus difficile de se laver au torrent une demi-heure plus tard. Et c’est encore mieux quand on peut profiter de quelques rayons de soleil.

Si vous avez prévu d’installer votre bivouac à proximité d’un point d’eau potable, pensez à minima à descendre en aval de celui-ci pour faire votre toilette.

Et si vous devez choisir entre un lac et un torrent pour vous laver, optez pour le 2ème. Cela évitera de laisser stagner l’eau utilisée.

 

     

Quelles zones du corps prioriser lorsque l’on se lave en trek ?

 

L’eau issue des glaciers n’est pas au goût, ou plutôt à la température de toute le monde. Même après une très grosse journée de randonnée, il est parfois compliqué de se laver entièrement. Ou peut-être manquerez-vous d’eau pour une douche nature intégrale ou bien d’intimité.

Dans ce cas, il faut se résigner à faire des choix dans les zones du corps à laver : prioriser les mains, dents, visage, sexe et pieds.
Toutes ces zones sont sujettes à l’accumulation de transpiration et à très peu de ventilation pour certaines, donc à des risques d’ennuis (précédemment évoqués).
Ces parties du corps ont l’avantage d’avoir des faibles surfaces par rapport au reste : peu d’eau sera nécessaire pour les laver.

Si vous commencez à vous habituer à cette eau douce de quelques degrés ou qu’il vous reste encore un peu d’eau, vous pouvez continuer avec toutes les zones présentant des plis (au niveau des articulations). Vous éviterez alors divers problèmes dermatologiques.

 

 

Quels produits utiliser pour se laver en trek ?

 

Cela semble évident, mais favorisez autant que possible les produits d’origine naturelle pour limiter l’impact de votre passage sur notre environnement. Voici quelques produits qui pourraient vous être utile pour votre douche en randonnée :
 

Un savon spécifique ou multi-usages au format :

  • Solide : très durable si bien protégé mais relativement lourd. Il peut être intéressant de couper seulement le morceau dont on a besoin.
  • Liquide : très pratique, comme à la maison. Des formules concentrées dans des flacons compacts existent.
  • Poudre : Ultra-léger et très compact. Soupoudrez un peu de savon sur vos mains ou votre corps humide et lavez-vous ! C’est aussi simple que ça. Et cela ne demande que peu d’eau pour le rinçage.
  • En feuilles : Comme la poudre, c’est très léger et compact. Très pratique pour une toilette localisée, en dépannage.
  • Option eau de mer : Si votre trek se déroule en bord de mer, un savon solide est prévu à cet effet. En revanche il vous faudra une source d’eau douce pour vous rincer.
     

Les lingettes ou gants imprégnés : Si vous êtes bloqués sous votre tente avec aucun point d’eau dans les environs, ou que vous randonnez en plein milieu du désert, c’est la solution de dépannage très pratique et économique qui ne demande pas d’eau.
 

Un dentifrice au format :

  • Liquide : De contenance standard en supermarché ou mini dans les magasins spécialisés en matériel de randonnée.
  • Solide : Avec ce dentifrice en comprimés, vous limitez vos déchets (les tubes plastiques sont remplacés par un flacon en verre) et vous maitrisez votre consommation : 1 comprimé = 1 lavage

 

    

 

Quels accessoires utiliser pour se laver en trek ?

 

Lorsque l’on est loin de sa confortable salle de bain, il faut faire des choix dans les accessoires à emporter pour éviter d’encombrer et d’alourdir son sac à dos. Heureusement il existe des accessoires très pratiques :

  • Le gant de toilette microfibre : Très léger, compact et surtout très pratique. Ce type de gant vous permet de vous savonner et de vous rincer plus rapidement à l’eau froide. On évite ainsi la baignade dans un bassin à 5°C ! 
  • La serviette microfibre : Désormais très connue dans le milieu, son rapport poids / capacité d’absorption est très important. Selon les produits, vous trouverez différentes fibres synthétiques pouvant être particulièrement légères.

Cette serviette à la particularité de se rincer, s’essorer et sécher très rapidement pour éviter les odeurs et un poids supplémentaire dans le sac à dos. 

  • La trousse de toilette à crochet : Simple et pratique dans les endroits pas très propres. 
  • Des flacons souples : Que ce soit pour stocker votre savon, shampooing, crème solaire ou autre, ces flacons seront très pratiques pour n’emporter que de petites quantités. C’est aussi idéal pour passer le contrôle des aéroports sans encombre. 
  • La brosse à dents pliable ou escamotable : solution un peu moins radicale que de couper sa brosse à dents, tout en préservant un confort de brossage. 
  • La douche portable : En van ou en voiture, avant ou après votre trek, c’est le confort pour une douche intégrale. 
  • La cuvette ou le seau pliable : Lorsque l’on doit rester à distance des points d’eau pour se laver, ces accessoires seront vos alliés des plus compacts.

 

    

 

Conclusion

 

Se laver en trek, en pleine nature, loin de sa salle de bain, est parfois une épreuve, mais procure toujours un grand bien-être. Aussi, nous vous recommandons vivement :

- De vous laver dès la fin de la marche, avant que le corps ne refroidisse ;

- De laver systématiquement les zones sensibles même avec très peu d’eau pour éviter les irritations très désagréables.

Enfin, notre longue expérience chez RayonRando nous permet de compléter cet article par 2 conseils de sage :

- Face à un torrent glacial, n’hésitez pas à défier vos camarades. Le « T’es pas cap » fonctionne très bien ;

Par contre, évitez d’arroser votre compagne ou compagnon qui hésite au bord du torrent. Ce n’est pas bon pour l’ambiance.

Rayonrando vous souhaite de belles randonnées, avec ou sans douche.

L’eau est un élément vital, et ce d’autant plus en trek. Alors si vous souhaitez savoir comment trouver de l’eau potable en randonnée, c’est par ici.

 

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 Les 5 meilleures lampes frontales Petzl

 

Dès qu’on parle d’éclairage pour les activités outdoor, c’est la même expression qui revient : « T’as pris ta Petzl pour ce soir ? ». A l’instar de Thermos pour les bouteilles isothermes, la marque Petzl est devenue synonyme de lampe frontale. Mais pas seulement : Petzl rime aussi avec fiabilité et durabilité, ce que nous avons pu vérifier chez RayonRando depuis 17 ans.

Cette entreprise française est pionnière sur 2 créneaux : la verticalité d’un côté avec de nombreux crampons, piolets et accessoires, et l’éclairage outdoor de l’autre, avec une large gamme de lampes frontales vendues dans le monde entier.

Que vous soyez adepte de randonnée, de trail, d’itinérance à vélo ou encore très exposé aux intempéries lors de vos activités, il existe une frontale Petzl adaptée à votre besoin.

Pour vous aider à choisir votre lampe, nous avons alors décortiqué les différents modèles et nous en avons sélectionnés 5 en nous basant sur des critères tels que :

  • le poids
  • l’autonomie
  • la puissance
  • la stabilité
  • l’étanchéité

Rayonrando vous éclaire et vous présente Petzl et ses 5 meilleures lampes frontales adaptées à votre activité.

 

 

Petzl, l’entreprise familiale et française

 
Alors que les 1ers outils pour explorer les profondeurs ont été imaginés dans les années 30 par le futur créateur de Petzl, l’entreprise familiale sera créée en 1970.

Depuis plus de 50 ans, Petzl produit de l’équipement de montagne et de sécurité pour les activités sportives (randonnée, escalade, spéléologie, alpinisme, etc…) et professionnelles (secours en montagne, travaux en hauteur, etc…).

Entreprise française, toujours détenue par la famille fondatrice, Petzl distribue ses équipements (piolets, lampes frontales, crampons) dans plus de 50 pays. Elle représente environ 1200 salariés dans le monde, dont 500 en France.

Petzl développe, teste et qualifie chacun de ses produits et ce au-delà des standards et normes requises. Les tests sont réalisés dans leurs propres laboratoires en France et sur le terrain.

La conception des produits et des gammes intègre 3 priorités : robustesse, durabilité et simplicité d’utilisation.

 

La lampe frontale pour le bivouac : Petzl Tikka

 

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En randonnée, la lampe frontale devient vite indispensable arrivé au moment du bivouac. Celle-ci doit être légère et avec une bonne autonomie pour les longs treks. Votre frontale doit aussi avoir une puissance suffisante pour voir suffisamment loin lors de recherches tardives du lieu de bivouac ou à la pause pipi en pleine nuit pour éviter de tomber au fond d’un trou.
Enfin, la frontale de bivouac doit pouvoir résister aux précipitations.

La lampe frontale rechargeable Petzl Tikka se place comme un choix idéal pour le bivouac :

  • Elle ne pèse que 82 g (piles incluses) ! En sachant que vous pouvez remplacer les piles par une batterie Core (non incluse) de 23 g.
  • Une autonomie de 9 h pour une distance d’éclairage de 40 m, pouvant être augmentée à 120 h pour une distance d’éclairage de 10 m.
  • Un indice d’étanchéité IPX4, soit une résistance à la projection d’eau dans toutes les directions.
  • Mode éclairage rouge : Utile pour être plus discret ou pour diminuer l’impact sur la vision nocturne.

 

Option lampe frontale Petzl Actik : Si vous êtes habitués à finir vos randonnées de nuits, vous aurez davantage d’autonomie et de puissance avec ce modèle.

 

 

La lampe frontale pour le vélo : Petzl Swift RL
 


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La lampe installée sur votre vélo ne vous permet pas d’éclairer à un endroit en particulier instantanément, pour anticiper un obstacle en VTT par exemple. Il est donc important d’avoir une lampe frontale stable, puissante, légère et résistante aux précipitations.
Et si cette frontale pouvait adapter la puissance d’éclairage automatiquement ? En vélo, vos mains sont en toute logique…sur le guidon.

La lampe frontale rechargeable Petzl Swift RL a été notamment développée pour les cyclistes et propose :

  • La technologie Reactive Lighting activable à tout moment : elle permet d’adapter automatiquement la luminosité grâce à un capteur et préserver ainsi la batterie.
  • Un double bandeau arrière pour un maintien efficace.
  • Une puissance pouvant atteindre 900 lumens, soit 150 m de portée pendant 2 h !
  • Un indice d’étanchéité IPX4, soit une résistance à la projection d’eau dans toutes les directions.
  • Une frontale Petzl légère : 100 g sur la balance (piles incluses). En sachant que vous pouvez remplacer les piles par une batterie Core (non incluse) de 23 g.

 

 

La lampe frontale pour le trail et le running : Petzl Iko
 

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Si votre activité favorite est le trail ou le running, vous aurez besoin d’une frontale légère, confortable et très stable, qui ne glisse pas et n’oscille pas lors de votre course. Le faisceau de la lampe devra lui être plutôt large pour un meilleur confort de votre champ de vision. Enfin, votre Petzl pourra être soumise aux intempéries : une bonne protection est nécessaire.

La lampe frontale rechargeable Petzl Iko est l’alliée des coureurs et traileurs :

  • Bandeau ergonomique semi-rigide et hydrophobe qui ne retient ni la transpiration, ni l’eau.
  • L’ensemble ne pèse que 90 g (batterie incluse). Le tout est parfaitement équilibré entre la lampe à l’avant et la batterie à l’arrière.
  • 7 LEDS équipent cette lampe frontale pour un éclairage homogène.
  • Un réglage du faisceau lumineux sur 3 puissances pour s’adapter à la luminosité et au terrain.
  • Un indice d’étanchéité IPX4, soit une résistance à la projection d’eau dans toutes les directions.

Nous l’avons testé : elle est parfaitement stable et se fait oublier. L’éclairage intermédiaire est suffisant au crépuscule ou sur bitume. L’éclairage pleine puissance est particulièrement confortable dans toutes les situations.

 

 

La lampe frontale pour affronter tous les éléments : Petzl Aria 1

 

 

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Votre activité favorite a plutôt une ambiance poussiéreuse ? Sableuse ? Ou alors vous êtes plutôt kayak ou sports en pleine mer ? Si vous recherchez une lampe frontale fiable, qui ne bronche pas face aux microscopiques éléments que sont le sable, la poussière ou l’eau, alors c’est qu’il vous faut une frontale Petzl complètement étanche.

La lampe frontale rechargeable Petzl Aria 1 est spécialement conçue pour résister aux éléments :

  • Indice de protection IP67, indiquant une étanchéité totale (immersion jusqu’à 1 m pendant environ 30 minutes).
  • Une puissance moyenne de 100 lm, soit 45 m de portée pendant 12 h.
  • Une frontale Petzl légère : 105 g sur la balance (piles incluses). En sachant que vous pouvez remplacer les piles par une batterie Core (non incluse) de 23 g.

 

En bonus, 3 couleurs d’éclairage discrètes pour des situations spécifiques :

  • Rouge : pour la discrétion vis-à-vis des animaux et pour limiter l’impact sur la vision nocturne de l’utilisateur
  • Vert : pour une lecture de carte aisée, sans s’éblouir (course d’orientation par exemple)
  • Bleu : pour améliorer la visibilité dans l’eau

 

La lampe frontale de secours : Petzl E+lite
 

 
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Comme tout randonneur, vous vous êtes probablement déjà retrouvé dans une situation compliquée à terminer votre périple de nuit. On se dit qu’il n’est pas toujours indispensable d’ajouter une lampe frontale dans son sac à dos à chaque sortie. Cet à cet instant précis qu’on peut commettre une erreur.
Et si vous pouviez laisser une lampe frontale Petzl résistante, ultra légère et durable à demeure dans votre sac de randonnée ?

La lampe frontale de secours Petzl E+lite remplit, en quelques grammes, tous les critères de sécurité et de durabilité :

  • Un poids plume : 26 g (piles incluses).
  • Les piles au lithium fournies permettent à cette frontale Petzl d’être stockée pendant 10 ans et de pouvoir fonctionner de -30°C à +60°C.
  • Indice de protection IPX7, indiquant une étanchéité totale (immersion jusqu’à 1 m pendant environ 30 minutes).
  • Sifflet intégré.
  • Pour les situations de détresse : Un éclairage blanc ou rouge clignotant visible à 100 m jusqu’à 95 h.
  • Pour finir votre randonnée en toute sécurité, vous pouvez compter sur une petite puissance de 20 lm, assurant un éclairage sur 13 m pendant 9 h 30.
  • Un boîtier rigide permet de la protéger efficacement dans votre sac à dos.

 

 

Conclusion

Cette sélection des 5 meilleures frontales Petzl a été pensée pour répondre à vos besoins dans différentes activités avec un socle commun : la fiabilité et la durabilité des produits réalisés par cette marque française.

En quelques années, les lampes Petzl ont beaucoup évolué :

- La luminosité des leds n’a cessé d’augmenter avec une autonomie préservée et un poids réduit.

- La modularité de la charge s’est quasiment généralisée avec la possibilité d’utiliser dans la même lampe des piles ou une batterie rechargeable Core, batterie qui peut s’adapter à la plupart des modèles de la gamme.

En cas de doutes ou de besoins différents, n’hésitez pas à nous contacter ou à nous rendre visite dans notre showroom.

 

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